Mon humble collection - anciennes figurines

Voilà,
je me suis enfin motivé à sortir de leurs cartons poussiéreux mes vieilles figurines afin de partager ma collection avec vous. Je vais vous les présenter.

De mes premiers pas, en des temps reculés, jusqu'à aujourd'hui, voici les personnages et créatures que j'ai pu croiser en parcourant la Terre du Milieu pendant ces longues années.


Mes premières rencontres, les Gobelins de la Moria grouillant tels des nuées d'insectes :














L'un d'eux a même accepté de prendre la pose spécialement pour cette photo après que j'aie épargné sa vie :

J'aime bien la façon dont tu nous les présente^^ Petit à petit...

j'aime beaucoup tes gobelinous en tout cas !!

Merci. Je poursuis donc...

Peu après, je rencontra des Hommes de Numénor qui s'en allaient en campagne. Après avoir longuement parlé avec l'un d'eux, je décidais de poursuivre une partie de ma route en leur compagnie.






Ma marche était motivée par leur prochaine rencontre avec une compagnie de Hauts Elfes (j'avais toujours rêvé d'en voir). Après deux jours, nous aperçûmes une lueur étincelante comme l'or à l'horizon. Nous étions arrivés. La troupe des Elfes était en pleines manœuvres.





Je pu rencontrer les Seigneurs Gil-Galad et Elrond, dont les réputations traversaient les vastes étendues du monde et dont je pu emporter les portraits en souvenir.

Tu racontes ça trop bien, j'adore !! La suite ! La suite !

La suite ? Et bien la suite est assez étrange en réalité...

Au détour d'un chemin en lisière de forêt, j'entendis un vacarme de tous les diables. Je décida de m'approcher pour comprendre ce qu'il se passait quand soudain, un cri d'immonde orque retentit. Je me mis à couvert derrière un arbre et, après une minute d'attente, le vit passer dans une clairière avec plus d'une vingtaine de ses petits camarades.



Courageux, mais pas téméraire, et n'accordant qu'une confiance toute relative aux gens ainsi tatoués, je m'éloigna à pas de loup pour finalement arriver au bord d'une rivière nommée Anduin (qui en réalité avait d'avantage d'un fleuve que d'une petite rivière).
C'est alors que je vis un drôle de petit bonhomme montant dans une barque avec l'un de ses semblables (un peu plus gros que lui).



Je me demandais alors s'ils n'étaient pas, par le plus grand des hasards, les cousins du premier (la ressemblance n'était pas frappante mais parfois il vaut mieux se méfier), d'autant plus qu'aucun d'eux n'avait l'air d'être un pêcheur...j'avais peur de ce qui pouvait arriver si je les abordais (et puis je n'étais pas un pirate, que diable). Que pouvaient-ils bien rechercher dans leur isolement commun ? Peut-être étaient-ils déjà allés cacher leurs gaules dans les buissons de l'autre rive ?
Finalement, je m'éclipsais discrètement pour tenter de poursuivre ma route dans la plus grande quiétude et ne pas mettre en péril mon anneau.
Décidant de prendre par la forêt pour aller plus vite, je fus prestement contraint de rebrousser chemin car la bande d'affreux de tout à l'heure était là à se battre contre un homme qui avait tout l'air d'être un bandit.



Au moment où je pensais m'en être enfin sortit, je tomba sur tout un régiment des ces ignobles choses en pleine pause repas. Comme il est bien connu que ces créatures détestent que l'on interrompe leur "fondue party", ils me prirent immédiatement en chasse.



Ma fin était proche. Et comme dans toute situation désespérée, je tenta une chose totalement folle. Voyant que plus aucun d'entre eux n'avait son morceau de pain au bout de son pic, je stoppa net et leur cria que leur gage était de courir tous nus dans les bois (ce qui aurait au moins le mérite de leur faire poser leurs armes faute d'être un spectacle agréable). Résultat...



[et bien non, je n'ai pas converti d'Uruk Haï nus, désolé on n'en était qu'au numéro 6 là hein ! ]

...ils avaient gagné du terrain !!!

Je me mis alors à courir comme jamais, jusqu'à ce que mon corps ne puisse plus suivre. Obligé de m'arrêter définitivement, je ne comprenais pas comment ces créatures pouvaient tenir le rythme si longtemps. Et c'est à ce moment précis, alors que tout espoir était perdu...





...qu'apparurent mes sauveurs. Et oui, nous avions couru jusqu'en Rohan ! Et dans cette contrée l'on aime ni les voleurs de chevaux, ni les orques puants !
Une fois les carcasses empilées et incendiées, nous partîmes jusqu'à leur village où ils m'offriraient hospitalité et protection avant que je ne continue mon voyage.

Bien sympa tes peintures, manque plus que les socles. Raconte nous vite la suite de l'histoire

La suite! La suite! La suite! J'adore la façon dont tu racontes et les figurines sont bien peites je trouve

Aaaaaargh j'ai loupé le début !!!!
Ta façon de présenter tes figurines est super bien jusqu'à en oubliant les figurines elles mêmes
Yakuza m'a devancé avec les socles
Pour finir je trouve les visages de tes héros un peu trop pareil :/
Seul bémol, après tout le reste est bien, à mon gout

Je trouve ças aussi pas mal du tout !!
Juste les homme du rohan un peu trop claire peut etre ! Mais par contre la maquette qui est presenter m'as l'air genial !!

Continue ne t'arrete pas j'adore la petite histoire

Beorn a écrit:

Yakuza m'a devancé avec les socles

Pourtant, ayant compris que tu étais notre grand maître dans ce domaine, je t'attendais là dessus. Dommage ! ^^

Beorn a écrit:

Pour finir je trouve les visages de tes héros un peu trop pareil :/

Tu entends quoi par "trop pareils" ? Peut-être la photo qui ne rend pas super bien...? Je vérifierai ça en live et puis...des photos plus détaillées de certaines figurines (dont les héros justement) sont prévues.

samimimu a écrit:

Juste les homme du rohan un peu trop claire peut etre !

Oui, au niveau des couleurs, j'ai fais avec ce que j'avais à l'époque en peinture (peu variée) et comme je n'aimais pas spécialement les Rohirrim je n'ai malheureusement pas cherché non plus à en faire des chefs d’œuvres...

samimimu a écrit:

Mais par contre la maquette qui est presenter m'as l'air genial !!

Euh quelle maquette ?

Citation :

Euh quelle maquette ?

Il veut parler des decors je pense

Après une nuit passée à se raconter des histoires tout en ripaillant, je dus finalement me résoudre à abandonner les Rohirrim pour continuer mon périple.
Tout alla pour le mieux pendant quelques jours jusqu'à ce qu'une nuit, au détour d'une colline, je tombe sur une autre bande d'affreux. Ils couraient à toute allure et, par chance, ne me remarquèrent même pas. Tandis que je les observais pour m'assurer qu'ils s'éloignent bien avant de sortir de ma cachette, j'eus le temps de repérer deux petits personnages, semblables à ceux que j'avais vu prendre le bateau auparavant, se faisant porter par deux orques.





Ils s'arrêtèrent quelques dizaines de mètres plus loin, sans doute pour passer le nuit au bord de la forêt. Certains allèrent couper du bois, d'autres, qui n'avaient pas l'air commodes, commencèrent à se disputer...jusqu'à ce que l'un d'eux coupe la tête d'un autre pour régler le problème.







J'en déduis qu'il était grand temps de partir d'ici, profitant de l'obscurité pour m'éclipser en toute discrétion.
Au bout de plusieurs heures, je fus surpris par le barbu de l'autre jour (décidément...) en arrivant derrière un monceau de rochers. Il était accompagné d'un Elfe...



et d'un Nain.



Ils s’appelaient Aragorn, Legolas et Gimli, et m'expliquèrent qu'ils étaient à la poursuite d'un groupe d'orques ayant emmenés captifs deux de leurs amis. Je fis immédiatement le rapprochement et leur raconta ce que j'avais vu.
L'un d'eux s'exclama ; "Vous aviez raison, ils les conduisent en Isengard. Nous ne pourrons rien contre le magicien blanc."
Un magicien ? J'avais toujours désiré en rencontrer un ! Je leur demanda donc de plus amples détails sur lui et ils me répondirent qu'il s’appelait Saroumane et était très puissant. Ils devaient maintenant repartir, ayant perdu trop de temps.
Je leur demanda s'ils pensaient que le magicien accepterait de me montrer quelques tours, ce à quoi le Nain me répondit "Et bien si vous décidez d'aller en Isengard, quoi qu'il arrive vous en verrez au moins une !" en hurlant de rire. Les deux autres se regardèrent d'un air désespéré, sans même esquisser un sourire, avant de se remettre en route suivis par le Nain. Je n'avais pas compris non plus. Je me résolu à me remettre en marche également.

Après un long moment passé à marcher tout droit dans les vastes plaines désertes en réfléchissant à ce que je pourrais bien faire, une idée se fixa dans mon esprit. Il fallait que j'aille à la rencontre de ce magicien ! Je repartis donc dans la direction opposée, regrettant d'avoir passé autant de temps à m'éloigner de la route que j'empruntais maintenant.

Yeah !! Je kiffe^^ Legolas est juste trop bien peint

l'âme_elfique a écrit:

Yeah !! Je kiffe^^

Quoi ? Le tout ou juste Legolas ? ^^

Pour moi tout est bien peint ( sauf peut etre les yeux des hobbits qui sont bizarre mais c'est juste un détail )

En effet super Legolas, un ensemble bien sympathique, une façon de présenter géniale, et un eye liner pour Merry trop appuyé ^^

Ma réaction est pour l'ensemble fredy, mais j'ai une préférence pour Legolas

Dommage que tu n'est pas peint les poils des pieds des hobbits, les yeux sont trop gros, un petit lavis sur la peau.
hâte de voir leur socle
La petite histoire me plait toujours autant
Pas de débordements et de bonne couleurs donc c'est Yabon !
Hâte de voir la suite !

Après une longue marche, j'arrivais enfin à Orthanc, la grande tour noire qui se dressait là était tout simplement magnifique.
Mais la contemplation devait être de courte durée car un bruit de branche cassée derrière moi me fit sursauter. N'ayant pas même le temps de les voir arriver, une bande d'orques crasseux me tomba littéralement dessus, faisant de moi leur captif. L'un d'eux, qui semblait être le chef, cria à ceux qui me tenaient de me conduire au magicien blanc, et aux autres de reprendre leur ronde à la recherche d'éventuels compagnons. Comme l'un des orques avait profité de la confusion de la bagarre pour s'essuyer les pieds sur ma cape, je ne leur épargna pas la peine de fouiller les environs en leur disant que j'étais seul.
Quelques instants plus tard je fus jeté dans une pièce assez obscure où j'entendis une voix disant "Je suis Sarouman, le blanc. Dites moi, qui êtes-vous ? Et, pourquoi êtes-vous venu m'espionner ?"
Me retournant c'est là que je le vis sortir d'un coin sombre de la pièce...




Je lui répondis que ce qui avait motivé ma venue n'était que pure admiration des magiciens. Qu'après avoir entendu dire qu'un très grand mage vivait là, je n'avais pu m'empêcher de lui rendre visite afin de le rencontrer. Il sembla très satisfait de ma réponse, esquissant un sourire, et m'invita à passer dans la pièce voisine où il m'offrit de m'asseoir.
Nous parlâmes un long moment. De la situation de la Terre du Milieu, des impressionnantes prouesses d'ordre magique qu'il avait accompli dans sa vie, et de choses plus futiles. Il m'appris qu'il était autrefois dans le camp du Bien mais qu'un grand seigneur noir du Mordor était à l'origine de la mise en marche d'évènements qui allaient mener le monde à un changement radical et l'avait fait changer d’allégeance.

"Sauron, voyez-vous, a perdu son alliance. Lorsqu'il s'en rendit compte il envoya toutes ses hordes d'orques à sa recherche...sans succès. Il décida donc de fouiller toute la Terre du Milieu afin de le retrouver. Rien ne pourra l'arrêter car il a bien trop peur de la réaction de sa femme si jamais elle découvrais la supercherie."

Nous continuâmes de parler toute la nuit durant, jusqu'à ce que le magicien finisse par s'endormir sur son siège. J'en profitais pour lui fausser compagnie et me glisser hors de son domaine.

Je me perdis malheureusement dans une forêt. Tournant encore et encore en rond, je finis par m'arrêter et attendre qu'un miracle se produise. Et je n'eus pas longtemps à attendre. Au bout de trente minutes j'entendis un bruissement derrière moi.
C'était un bataillon d'Elfes ! Mon sang n'avait fait qu'un tour car j'avais cru me faire de nouveau attaquer par une bande de sales orques. L'un d'eux s'avança pour se présenter et me demander ce que je faisais seul ici.



Il s'appelait Haldir et était le commandant des forces de la Lothlorien. Il menait son contingent, sur la demande du seigneur Elrond, au Gouffre de Helm pour aider le roi Théoden. Je lui demanda alors quelle était la meilleure route pour sortir de là. Il me dit que j'aurais du tourner à droite à la fourche au lieu de prendre à gauche.
Après un échange de formules de politesse, je me rappelais soudain une chose...il me fallait l'adresse de son coiffeur car je trouvais sa décoloration très réussie. Il me répondit qu'il s'agissait de Franck de Fornost avant de s'éloigner avec sa troupe. C'était trop loin pour y retourner spécialement, je décidais que cela pourrait attendre mon retour.

En route pour le Mordor ! Je voudrais comprendre qui est ce Sauron qui est prêt à détruire le monde uniquement pour éviter une soufflante de sa femme.
Après quelques jours, me voici arrivé en Ithilien, magnifique terre boisée où le chant des oiseaux vous fait presque tout oublier...même d'être attentif à ce qu'il se passe autour de vous. J'avais encore une fois été surpris et cela commençait à devenir une habitude depuis un certain temps...




Cet homme sortait d'un buisson en sifflotant et avait dégainé son épée qu'il pointait vers moi. Me voyant de face, maintenant que j'étais retourné, il la rangea aussitôt et s'excusa de m'avoir fait peur. Il tenta de refermer discrètement sa braguette mais j'avais bien compris ce qu'il était partit faire derrière ce buisson, même si en tant que gentleman, je détourna légèrement la tête à ce moment là.
Il me dit s'appeler Faramir, être le fils de l'intendant du Gondor et qu'il était le gardien de cette région devant la menace qui planait sur son peuple.
Tout en marchant, il me parla de la guerre qui couvait entre son royaume et le Mordor, des incursions d'orques et autres serviteurs de Sauron qui devenaient, selon lui, de plus en plus fréquentes dans la région, ainsi que de sa peur de voir la cité de Minas Tirith détruite s'ils venaient à échouer dans leur tentative de faire face aux hordes malfaisantes.

"Mais cessons de parler de choses tristes, accompagnez moi donc à mon bivouac et je vous invite à manger avec moi ce soir. La nuit va tomber ce serait plus sûr."

La proposition qu'il me fit était séduisante, malheureusement j'avais quelque chose d'urgent à faire. Je fus donc obligé de refuser poliment son invitation, tout en précisant que si nous nous recroisions un jour ce serait avec un grand plaisir.
Nous nous quittâmes ainsi et j'étais à nouveau sur la route...de Minas Tirith ! Car j'étais plus près de cette ville que de l'entrée du Mordor et j'avais compris l'importance d'aller dans la bonne direction du premier coup en voyant l'état d'usure de mes bottes. De plus je me disais, qu'au cas où, il valait peut-être mieux aller prendre quelques photos avant que la ville ne soit détruite.

super marrant ta petite histoire, maintenant je connait les véritables intentions de Sauron !

Génial !!

Une fois arrivé à Osgiliath, je découvris une ville en ruines, ce qui était fort dommage car elle était cotée dans le Routard du Milieu. La nuit commençait à tomber et je décidais de m'y reposer avant mon rendez-vous avec Minas Tirith pour la séance photo du lendemain.

La ville était coupée en deux. Du côté Est du fleuve se tenaient les hordes d'orques assoiffés de sang...







...tandis que du côté Ouest se dressaient les dernières défenses des hommes du Gondor, combattant tous sans aucun répit pour le contrôle du terrain.









Les projectiles volaient en tous sens et j'eus beaucoup de mal à m'endormir, mais je finis par y arriver.

Les orques attaquèrent la rive occidentale pendant mon sommeil, qui heureusement pour moi était très profond. Lorsque, à mon réveil, je ne trouva qu'un monceau de cadavres sans têtes, je ne pu réprimer un cri d'horreur. Les orques fondirent alors sur moi et au moment où l'un d'eux voulu me décapiter à mon tour, leur chef lui demanda s'il ne restait plus que moi. C'était décidément mon jour de chance car quand il répondit à son supérieur que j'étais le seul et unique survivant, ce dernier ordonna que l'on me relâche pour que je puisse gagner Minas Tirith et leur raconter ce que j'avais vu (c'est à dire pas grand chose en fait...mais shut!). Chez les orques aussi on peut laisser un témoin pour propager l'histoire et terrifier les futures victimes.

Ils me firent donc monter sur une monture et me laissèrent partir. Dire qu'il m'avait fallu arpenter presque toute la Terre du Milieu en long, en large et en travers, le tout à pieds, pour pouvoir traverser un champ à cheval...
Une fois arrivé à Minas Tirith, j'eus la chance de rencontrer un autre magicien, blanc lui aussi et du troisième âge, Mithrandir, qui organisait les défenses de la cité et m'interrogea sur ce qu'il s'était passé à Osgiliath.



Mais l'attaque ennemie ne se fit que très peu attendre.
L'après-midi même, les légions d'orques qui avaient traversé le fleuve se mettaient en ordre de bataille devant les murs de Minas Tirith. Les champs qui avaient encore, quelques heures plus tôt, la couleur de l'herbe séchée par le soleil étaient devenu noirs. C'était si impressionnant que...je m'évanouis sur le rempart.
Lorsque je revint à moi la nuit était tombée et un vacarme assourdissant se faisait entendre. J'eus tout juste le temps de sortir du bâtiment où l'on m'avait allongé pour constater que les portes étaient en train de céder. De monstrueux trolls les passèrent alors pour briser les lignes des troupes massées dans la cour, ce qui entraina un carnage abominable...




Une fois que les trolls leur eurent dégagé la voie, les troupes ennemies entrèrent à leur tour à l'assaut de la cour et Mithrandir nous cria de nous replier au second niveau de la cité. Dans ma fuite j’aperçus quelqu'un, ou quelque chose, qui passait la porte, sans savoir ce que cela pouvait être...



La bataille fit rage toute la nuit durant. Et de retraite en retraite nous montâmes successivement tous les étages de la ville. Inéluctablement nous étions repoussés, sans aucun espoir de réussir à refouler notre ennemi. Une monstrueuse créature ailée s'aventura même à se poser dans la cité. Son cavalier se mit à hurler de façon si aiguë que certains se tinrent la tête comme si on la leur arrachait. Puis il brisa le bâton de notre magicien, symbole de son pouvoir.



C'est à ce moment qu'un projectile de catapulte ennemi vint s'écraser sur la façade du bâtiment devant lequel je me trouvais. Des gravats me tombèrent dessus sans que je puisse tenter la moindre esquive et je fus assommé.
[...]
Quand je rouvris les yeux j'étais allongé dans un lit. On me raconta comment la bataille fut gagnée, la Terre du Milieu sauvée, et Sauron tué par sa femme.

La classe !
surtout la fin
Par contre tes gondoriens manque de lavis à mon avis

Je suis fan ! C'est fini ?

Informations :

Toutes les figurines qui vous ont été présentées dans ce topic (ou qui le seront dans un futur proche) ont été peintes avec les couleurs à ma disposition à l'époque et sans aucun traitement de type lavis.
Elles ont toutes été peintes entre le moment où j'ai commencé la collection et le moment où je me suis arrêté.
Elles font toutes partie de la collection des éditions Atlas.
Je n'ai jamais soclé la moindre figurine de toute ma vie, ce qui va changer maintenant que j'ai repris.

A venir sur ce topic d'autres figurines, mais, qui n'appartiendront pas forcément à la collection Atlas.
Pour tout ce qui est des figurines que je peins depuis que j'ai recommencé, j'ouvrirai un autre topic plus tard.

Merci à vous d'avoir suivi ma petite histoire (et oui l'âme, c'est finit malheureusement), et pour vos commentaires également !


Je vous dis donc à très bientôt pour, non pas de nouvelles aventures, mais de simples présentations de photos !