IIeme rapport de bataille [en cours d'écriture]

GOBELINS:
  -Roi gobelin 120
  -2 capitaines gobelins de gobelin ville 70
  -Grinnah 40
  -32 guerriers gobelins 128
  -1capitaine gobelin en armure 40
  -10 guerriers gobelins en armures (6avec bouclier et 4 avec lances)

47 unités dont 0% de tireurs pour 448pts





NAINS: 
  -Gimli fils de Gloïn 90
  -6 garde Khazad
  -2 capitaines nains avec boucliers 130
  -18 guerriers nains (6 avec bouclier 6 avec armes à deux mains et 6 avec arcs)
27 unités dont 23% de tireurs pour 448pts

Les forces naines avaient été défaite à de nombreuse reprise par les gobelins qui finirent pas infester la région. Les villages humains furent rasé les un après les autres, ce qui obligeât les quelques artistes assez courageux (ou stupide) à arrêter de venir là. Les nains était euphorique (si l'on oubliait la mort d'une centaine des leurs) tandis que les gobelins eurent l'effet inverse, aussi moche et aveugle qu'ils sont, ils entendent plutôt bien (en tout cas mieux qu'un nain standard) ce qui fait qu'ils adoraient la musique en général (ils essayent de reproduire constamment les tubes à la mode mais leur dernière interprétation de une sourie verte à la batterie ne fit qu'attirer un balrog, un istari et une bande de clopin haut comme trois pommes qui voulait TOUS CASSER).

Alors que les gobelins, déprimés, errait dans la plaine, ils entendit une douce chanson. L'un des éclaireur gobelins alla voir et vit une bande de troubadour. Il parti prévenir le Roi gobelin qui après avoir entendus cette nouvelle, fila lui et un contingent vers le lieu en question. Les nains initialement venu casser la tête de ces musiciens de pacotilles, virent que les gobelins était très intéressés par eux, et sortait des bouts de papier. Gimli ordonna donc de faire de même et qu'après la bataille, ils n'argueraient les gobelins avec de nouveaux rouleaux près à l'emplois (le côté stratégique de la chose qui est de faire perdre le moral des gobelins ne se trouve pas dans l'esprit de Gimli à ce moment là).

Cet ainsi que les deux armées se mirent en places